• El Chaco - Finca de la Isla

    En ce moment nous sommes à El Chaco

    Nous faisons du wwoofing ( le wwoofing consiste à échanger son travail dans des ferme écolo contre le gîte et le couvert)

    Nous somme hébergés à l'hôtel kayak et à 7 h 30 nous partons pour aller à la ferme à 8 min de l'hôtel.

    Arrivés au parking nous nous garons et nous traversons la rivière à l'aide d'une tyrolienne du genre accro-branche mais nous nous 

    mettons dans une nacelle et c'est quand même très  marrant! Arrivés à la ferme nous devons d'abord traire les vaches (car il y a un 

    camion qui passe chercher le lait de toutes les fermes). On trait les vaches (Nena, Niebla, la China, Negra etc.. et certaines ont des veaux ou velles) à la main avec Maria. C'est  super, mais nous, on n'est pas super doué.

    Pendant que les parent traient les vaches, avec Tiama , on va nourrir les Tilapias ( ce sont des poissons).  Il y a trois bassins. Nous donnons à manger au chat, aux poules et aux poulets et les cuyes (cochons d'inde) et nous rejoignons les adultes au champ des vaches.

    Après avoir fait la traite deux adultes apportent le lait au camion.

    La famille qui nous accueille dans sa finca (ferme), autour de Segundo et de Maria, se compose aussi de 6 enfants : Luis, Edison, Eduardo, Rocio, Gustavo y Darwin et une soeur qui habite en Espagne. C'est Eduardo qui s'occupe de la partie wwoofing.

     

    El Chaco -Tiama nourrit les tilapias

     


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  • Nous avons visité le centre historique de Quito et trouvé de sympathiques jeux dans le parc El EJIDO !

    la place de l'indépendance

     


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  • 2ème jour à Quito

    Aujourd'hui, nous sommes descendus dans le cratère d'un volcan (éteint, on vous rassure!) qui s'appelle le Pululahua. Son cratère est un des plus grand du monde et un des seuls qui est habité et cultivé! Nous y avons vu de jolies fleurs et....des colibris dans cette réserve géobotanique.

    « Pululahua » signifie « nuage d’eau » en quechua. Ce nom s’explique par le climat spécial qui y règne : le brouillard est souvent présent. 

    fleur du Pululahua

    Pendant notre marche, nous avions l'impression de recevoir de l'eau d'un brumisateur: assez agréable! Mais malgré les nuages, on fait attention au soleil d'altitude (le cratère est à 1800 m et Quito à 2800 m)

    Ensuite, il a fallu remonter!

    Nous dormons chez Maribel à Carapungo, un quartier de l'immense ville de Quito (30 km de long!), une équatorienne super sympa qui nous accueille à bras ouverts et qui nous raconte sa passion: la montagne... ici elle est servie!

    Nous lui avons fait des crêpes

    crêpes chez Maribel

     

    Et voici un ajout de photo : deux colibris différents : 

    2ème jour à Quito

    Colibri au fond du cratère Pululahua

     


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  • Nous voilà en transit à Madrid. Et on commence nos carnets de voyage...


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